Alizée
Nous les brise.
Elle a pris le mistral.
On lui a fait la bise.
On lui a souhaité bon vent.
Dans le train, elle n’a jamais bouffé
Autant.
Puis elle a retrouvé son marin,
Beau – parait-il – à couper le souffle.
Cet article a été publié le 23 octobre, 2015 à 18:15 et est catégorisé sous Billets.
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