J’aime bien ces patates qu’on appelle les rates
Elles me dilatent la rate
C’est un médicament de pirate
Qui jamais ne rate.
Elles soignent les bureaucrates,
Les magistrates,
Les philosophes comme Socrate
Et tous les grands démocrates.
Plus jamais, ils ne se grattent.
A la fin, ils s’hydratent.
Cet article a été publié le 30 décembre, 2013 à 20:48 et est catégorisé sous Billets.
Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil RSS 2.0.
Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.