A la porte, à la fenêtre
28 mars, 2012Il a pris le battant de la porte dans le nez, ce n’est pas un battant.
D’ailleurs, il a des poignées d’amour.
Et puis, il ne sort jamais de ces gonds.
Il est marié à une petite espagnole : une espagnolette.
Elle a l’esprit d’ouverture.
Elle le fait grimper au rideau.
Il n’est pas près de prendre la porte.
Ni la clé des champs.
Il souffre tellement de jalousie !
Ce sera le dernier volet de son existence.