Navrant!
17 juillet, 2011La pression monte. Je me sens sous pression. Comme une bière. Ou alors comme un bouton.
Je plaisante. J’aime bien les jeux de mots.
Je suis tranquille. Comme bar-tabac. Ah ! Ah ! C’est encore une contrepèterie. Je suis décidemment irrésistible. J’ai l’habitude de dire « comme bar-tabac » en référence à l’expression « fier comme Artaban ». Il faudrait d’ailleurs que je me documente pour savoir qui était Artaban.
C’était un roi de Parthes, me glisse Google. Il ne devait pas se prendre pour n’importe quoi pour avoir laisser une telle maxime dans l’Histoire.
Je dis aussi souvent « lycée de Versailles » au lieu de « vice-versa ». C’est très amusant. Tout le monde croit que j’ignore la signification de l’expression latine alors que je suis très fort en latin. Par exemple, je peux dire : « in medio stat virtus » ou alors « mutatis mutandis » ! Pas mal, hein ? Qu’est-ce que vous en pensez ?
Pour rire encore un peu, je n’hésite pas à utiliser le célèbre « Comment vas-tu ‘au de poêle ? ». Dans mes grands jours, je vais jusqu’à : « Bonjour, ‘yau de poêle ! Comment ça va ? ». C’est hilarant. J’en ai encore mal aux côtes !
Je signale également l’excellent : « C’est la goutte d’eau qui met le feu aux poudres ». C’est complètement dézingué. On peut mettre beaucoup d’ambiance avec ça.
Je suis un joyeux luron. Lorsque je détourne des expressions, par exemple « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle téléphone » ou alors « Pâques au tison, Noël en décembre », je deviens impayable, délirant, hallucinant !
Bon redevenons sérieux. Je ne suis pas de ces adolescents attardés qui ne peuvent s’empêcher de rire de tout d’un air débile. La preuve :
« Bonne année, bonne santé, la goutte au nez !! »