Il m’arrive une tuile.
Je n’ai plus pignon sur rue.
Il faut que je trouve cent briques.
Car je suis à la rue : je n’ai plus de toit.
Je dois faire le mur.
Entre minuit et une heure, il y a une fenêtre.
J’aurai un alibi en béton.
Puisque tu me serviras de couverture.
Cet article a été publié le 30 mai, 2011 à 21:53 et est catégorisé sous Billets.
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