Un truand
Lucio, le gangster, estimait capital d’avoir du capital.
Son père qui accumulait déjà activement des actifs, avait très tôt repéré son intérêt pour la monnaie.
Tout ce qu’il touchait se transformait en or.
Lucio était doté d’une puissante musculature grâce à une forte consommation d’épinards qui s’ajoutait à son goût immodéré pour l’oseille.
Il accompagnait ses repas de végétarien d’une galette de blé, le tout étant largement arrosé de liquidités alcoolisées de telle sorte qu’il terminait ses agapes complètement rond.
A la fin de sa vie, ses rivaux s’énervèrent : Lucio périt sous la mitraille.
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