Entreprenons…
20 juillet, 2009Les ventes augmentaient de manière exponentielle.
Le taux de croissance s’accroissait.
Les indicateurs de productivité s’envolaient.
Le ratio d’endettement à court terme se portait de mieux en mieux.
Grâce à une politique commerciale de remise, le pourcentage de fidélisation était très satisfaisant.
La trésorerie était bien garnie.
Le taux de rendement rendait le sourire aux actionnaires.
Les licenciements économiques se passaient donc dans la joie.